Boireun cafĂ© et manger un morceau en attendant son linge, c'est l'idĂ©e de cette start-up prĂ©sentĂ©e dans la nouvelle Ă©mission M6 "Qui veut ĂȘtre mon associĂ©".
Politique Toto Morand devient conseiller communal Ă Epalinges au sein des Vert'libĂ©raux archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Share Tweet Guillaume "Toto" Morand passe chez les Vert'libĂ©raux. Le trublion de la politique vaudoise rejoint les rangs du parti pour devenir conseiller communal Ă Epalinges, au-dessus de Lausanne. Une place s'Ă©tant libĂ©rĂ©e chez les Vert'libĂ©raux Ă la suite d'un dĂ©mĂ©nagement, leur prĂ©sident FĂ©lix Schmidt a demandĂ© Ă Toto Morand s'il souhaitait les rejoindre. "J'ai rĂ©flĂ©chi et je me suis dit qu'on pourrait faire quelque chose ensemble au niveau communal, vu l'engagement des Vert'libĂ©raux en matiĂšre d'urbanisme", explique-t-il vendredi dans une interview accordĂ©e Ă 24 heures. L'entrepreneur, patron d'un magasin de chaussures, dit notamment vouloir faire barrage Ă la MunicipalitĂ© d'Epalinges qui, selon lui, souhaite "bĂ©tonner ce qu'il reste d'espaces verts". Une premiĂšre Toto Morand s'est portĂ© quatre fois candidat pour une Ă©lection au Conseil d'Etat vaudois sous sa propre Ă©tiquette du "Parti de rien". C'est la premiĂšre fois qu'il s'associe Ă un vĂ©ritable parti. "D'habitude, on me demande de retirer ma candidature, plutĂŽt que de participer", ironise-t-il. Toto Morand prĂ©cise qu'il s'agit bien, pour le moment du moins, d'un engagement communal. "Je ne vais pas commencer Ă la ramener en tant que Vert'libĂ©ral vaudois ou suisse. Je reste indĂ©pendant". Outre ses quatre candidatures au Conseil d'Etat, Toto Morand s'est fait connaĂźtre pour diffĂ©rents combats, notamment la sauvegarde de la forĂȘt du Flon Ă Lausanne. Il a aussi plusieurs fois dĂ©frayĂ© la chronique pour des actions contre l'UDC, comme lorsqu'il avait installĂ© un faux minaret Ă Bussigny en 2009, en rĂ©action Ă la votation fĂ©dĂ©rale contre la construction des minarets. Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats Politique Recul de la satisfaction vis-Ă -vis du travail du gouvernement PubliĂ© Il y a 3 heuresle 29 aoĂ»t 2022 A un an des Ă©lections fĂ©dĂ©rales, la cote d'amour du Conseil fĂ©dĂ©ral n'est pas au beau fixe archives. © KEYSTONE/ENNIO LEANZA A la mi-aoĂ»t, seul un Suisse sur deux Ă©tait satisfait ou plutĂŽt satisfait du travail du Conseil fĂ©dĂ©ral, selon un sondage publiĂ© lundi par Tamedia et 20 Minuten. C'est 15 points de moins qu'Ă la fin 2021 65%. La popularitĂ© des membres du collĂšge s'effrite Ă©galement. Le ministre de la santĂ© Alain Berset reste le mieux notĂ©, avec une moyenne de 4,1 sur 6, contre 4,33 lors du prĂ©cĂ©dent sondage. Il est talonnĂ© par Karin Keller-Sutter 4,05 et Viola Amherd 4,02, qui restent relativement stables. Les conseillers fĂ©dĂ©raux en charge du dossier de l'Ă©nergie perdent des plumes Guy Parmelin voit sa note passer de 4,14 Ă 3,84, alors que celle de Simonetta Sommaruga chute de 4,00 Ă 3,66. La Bernoise est dĂ©sormais devancĂ©e par Ueli Maurer 3,81. Quant Ă Ignazio Cassis, sa popularitĂ© ne profite pas de son annĂ©e prĂ©sidentielle. Il reste lanterne rouge de ce classement, avec une moyenne de 3,5. Une formule pas si magique La population est trĂšs divisĂ©e sur la future composition du Conseil fĂ©dĂ©ral. Seuls 18% souhaitent continuer avec l'actuelle formule magique 2 UDC, 2 PS, 2 PLR, 1 Centre. Mais aucune autre proposition ne recueille plus d'avis favorables. Une formule Ă six partis 2UDC, 1 PS, 1 PLR, 1 Centre, 1 Vert, 1 Vert'libĂ©ral est soutenue par 17% des Suisses. Il en va de mĂȘme pour la variante qui verrait le PS cĂ©der un siĂšge au PVL, alors que 16% souhaiteraient que le PLR abandonne un marroquin au profit des Verts. Le dĂ©samour touche aussi le Parlement. A la mi-aoĂ»t, seulement 46% de la population Ă©tait satisfaite ou plutĂŽt satisfaite du travail des Chambres fĂ©dĂ©rales, contre 56% Ă la fin dĂ©cembre. Le sondage reprĂ©sentatif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en ligne les 15 et 16 aoĂ»t par l'institut LeeWas en collaboration avec 20 Minuten et Tamedia. 26â298 personnes de toute la Suisse y ont pris part, dont 3846 Romands. La marge d'erreur est de +/- 1,1 point de pourcentage. Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats ActualitĂ© Fribourg la loi sur les agglomĂ©rations est maintenue PubliĂ© Il y a 5 joursle 24 aoĂ»t 2022 La ville de Fribourg et ses communes environnantes ont Ă©tĂ© au centre des dĂ©bats mercredi devant le Tribunal fĂ©dĂ©ral archives. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON La nouvelle loi fribourgeoise sur les agglomĂ©rations reste en vigueur. Le Tribunal fĂ©dĂ©ral rejette la demande d'annulation de six communes. Elles estimaient qu'elles auraient dĂ» ĂȘtre consultĂ©es aprĂšs les modifications fondamentales apportĂ©es par le Grand Conseil. RĂ©unie en audience publique mercredi, la 1Ăšre Cour de droit public a renoncĂ©, Ă une majoritĂ© de trois juges contre deux, Ă annuler la loi sur les agglomĂ©rations LAgg. Les six communes recourantes, membres de l'AgglomĂ©ration de Fribourg, se plaignaient de n'avoir pas Ă©tĂ© consultĂ©es aprĂšs les modifications apportĂ©es par le Grand Conseil au projet du Conseil d'Etat. La commission du Parlement avait dĂ©cidĂ© en effet de revoir fondamentalement la forme juridique des associations de communes. "Il aurait Ă©tĂ© certainement souhaitable que les communes concernĂ©es soient entendues par la commission", a reconnu le juge rapporteur. En l'espĂšce, les autoritĂ©s fribourgeoises, soucieuses de faire avancer l'objet, s'en sont tenues Ă une interprĂ©tation formaliste du droit qui ne reconnaĂźt pas aux parties intĂ©ressĂ©es un droit Ă ĂȘtre consultĂ©es durant la procĂ©dure parlementaire. Limites du droit d'ĂȘtre entendu Fondamentalement, le droit d'ĂȘtre entendu revendiquĂ© par les recourantes appartient aux personnes dans les procĂ©dures administratives et judiciaires, a rappelĂ© une autre magistrate. Il peut ĂȘtre accordĂ© Ă titre exceptionnel Ă des personnes particuliĂšrement concernĂ©es dans la procĂ©dure lĂ©gislative. La jurisprudence mentionne des propriĂ©taires, par exemple. Les deux juges minoritaires ont dĂ©fendu l'opinion selon laquelle cette jurisprudence pouvait s'appliquer aux communes. "Il suffit de remplacer le terme de 'propriĂ©taires' par celui de 'communes'", a soulignĂ© l'un d'eux. La majoritĂ© a estimĂ© au contraire que l'on allait s'engager sur une voie dangereuse. "Si le droit d'ĂȘtre entendu peut ĂȘtre revendiquĂ© devant un parlement, on va se heurter Ă une foule de difficultĂ©s pratiques, a indiquĂ© une juge. Qui pourra l'exiger? A partir de quelle modification du projet? Sera-t-il accompagnĂ© d'autres garanties, tels l'accĂšs au dossier ou le droit Ă une dĂ©cision motivĂ©e?" "Judiciarisation" "On va s'engager dans une judiciarisation du processus parlementaire", a rĂ©sumĂ© le rapporteur. Le Tribunal fĂ©dĂ©ral ne doit pas introduire une jurisprudence qui permettrait d'attaquer toutes les Ă©tapes du processus parlementaire. Ce magistrat a rappelĂ© aussi que la LAgg a rĂ©uni des majoritĂ©s toujours plus marquĂ©es au fil du dĂ©bat parlementaire. Au final, elle a Ă©tĂ© approuvĂ©e par 75 voix contre 5 et 9 abstentions. En outre, les communes recourantes n'ont pas lancĂ© de rĂ©fĂ©rendum. Annuler ce texte aboutirait simplement Ă rĂ©pĂ©ter le mĂȘme processus, avec le mĂȘme rĂ©sultat. EntrĂ©e en vigueur le 1er janvier 2021, la LAgg prĂ©voit en substance que les agglomĂ©rations ne sont plus des organisations indĂ©pendantes corporations de droit public mais des associations de communes. Ce changement de forme juridique n'Ă©tait pas prĂ©vu par le Conseil d'Etat dans son projet. Nouvelles exigences fĂ©dĂ©rales Lors de l'examen prĂ©alable, la commission compĂ©tente s'est largement Ă©cartĂ©e de la forme en vigueur. Le projet de loi a Ă©tĂ© modifiĂ© en consĂ©quence, sans que les principales intĂ©ressĂ©es, soit les dix communes de l'AgglomĂ©ration de Fribourg ne soient consultĂ©es, en dĂ©pit de leurs rĂ©itĂ©rĂ©es demandes. La commission et le Grand Conseil ont justifiĂ© ce changement par la nĂ©cessitĂ© de se conformer Ă la lĂ©gislation fĂ©dĂ©rale sur l'aide aux projets d'agglomĂ©ration. La forme de l'association autorise des collaborations Ă gĂ©omĂ©trie variable, en fonction des thĂšmes, ou intercantonales. arrĂȘt 1C_636/2020 du 24 aoĂ»t 2022 Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats Economie Une pĂ©tition pour faciliter le 30 km/h dans le canton de Vaud PubliĂ© Il y a 6 joursle 23 aoĂ»t 2022 La pĂ©tition pour rĂ©clamer des conditions moins strictes pour instaurer le 30 km/h a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e mardi aprĂšs-midi Ă Lausanne. © KEYSTONE/LAURENT GILLIERON Une pĂ©tition a Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e mardi en faveur d'une plus grande gĂ©nĂ©ralisation du 30 km/h sur les routes vaudoises. Munie de 1635 signatures, elle demande que les communes puissent plus facilement limiter la vitesse sur leurs tronçons routiers. Les communes peuvent se sentir "dĂ©couragĂ©es" en raison "des critĂšres stricts" imposĂ©s par le canton, remarque David Raedler, prĂ©sident de l'ATE Vaud, qui a portĂ© cette pĂ©tition avec le Groupement pour le 30 km/h. Le dĂ©putĂ© des Verts cite des "procĂ©dures longues et coĂ»teuses", mais aussi diffĂ©rentes conditions Ă remplir, par exemple en terme de densitĂ© de population requise. ContactĂ© par Keystone-ATS, David Raedler explique ainsi que certains secteurs, bien que bruyants, ne peuvent pas passer en zone 30 km/h, car ils ne sont pas suffisamment peuplĂ©s. Il souligne Ă©galement qu'il n'est pas possible de rĂ©duire la vitesse sur des routes considĂ©rĂ©es comme des axes prioritaires par le canton. Des axes qui, pourtant, auraient tout Ă gagner en passant Ă 30 km/h en matiĂšre de nuisances sonores et de sĂ©curitĂ©, mais aussi de fluiditĂ© du trafic, affirme-t-il, prenant en exemple l'avenue de Ruchonet Ă Lausanne. Appuyer l'action politique La pĂ©tition a Ă©tĂ© remise mardi aprĂšs-midi devant le Parlement vaudois. Ce dĂ©pĂŽt a Ă©tĂ© accompagnĂ© par une "action sonore", un haut-parleur diffusant le bruit engendrĂ© par des vĂ©hicules Ă 50 km/h puis Ă 30 km/h. ParallĂšlement, la pĂ©tition a aussi Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e au Conseil communal de Lausanne. Les signataires demandent en effet Ă la capitale vaudoise, prĂ©curseuse en la matiĂšre 30 km/h de nuit, multiplication des zones 30, d'en faire encore plus. Et notamment en gĂ©nĂ©ralisant le 30 km/h, de jour comme de nuit. Selon David Raedler, la rĂ©colte de signatures, dĂ©marrĂ©e fin avril, a rapidement rencontrĂ© du succĂšs. LancĂ©e pour rĂ©pondre Ă des demandes de citoyens et d'Ă©lus communaux, cette pĂ©tition va permettre "d'appuyer" l'action politique des partisans du 30 km/h, estime-t-il. Autre pĂ©tition Du cĂŽtĂ© des opposants, une pĂ©tition munie de 840 signatures avait Ă©tĂ© dĂ©posĂ©e en janvier dernier pour demander aux autoritĂ©s politiques de rĂ©introduire le 50 km/h de nuit Ă Lausanne, hormis dans les quartiers rĂ©sidentiels. Pour les instigateurs de cette pĂ©tition, le 30 km/h n'a que peu d'impact sur le bruit dans une ville qui tourne dĂ©sormais "au ralenti". Cette pĂ©tition n'a pas encore Ă©tĂ© abordĂ©e en plĂ©num par le Grand Conseil. La commission des pĂ©titions a toutefois dĂ©jĂ proposĂ© de la classer par neuf voix contre une, annonçait fin juillet un article de 24 heures. Pour mĂ©moire, Lausanne a Ă©tĂ© la premiĂšre ville de Suisse Ă instaurer le 30 km/h de nuit en septembre 2021. Ailleurs dans le canton, Vevey a dĂ©jĂ annoncĂ© qu'elle allait suivre cet automne. Plusieurs autres communes y songent, Ă l'instar de Cossonay ou Montreux. Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats Politique L'Alliance vaudoise passe Ă l'action PubliĂ© Il y a 6 joursle 23 aoĂ»t 2022 Marc-Olivier Buffat, prĂ©sident du PLR Vaud, a prĂ©sentĂ© mardi avec ses homologues Kevin Grangier UDC et Emilio Lado Centre les premiers effets de l'Alliance vaudoise archives. © KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT Victorieuse en avril des Ă©lections cantonales, l'Alliance vaudoise veut passer "de la parole aux actes". Ses trois partis - PLR, UDC et Centre - ont prĂ©sentĂ© mardi leur premier objet parlementaire commun, une rĂ©solution consistant Ă instaurer une task force vaudoise en matiĂšre d'Ă©nergie. Ce texte, dĂ©posĂ© mardi aprĂšs-midi et qui devrait ĂȘtre dĂ©battu dĂ©but septembre par le Grand Conseil, demande au Conseil d'Etat de "dresser un inventaire" des ressources Ă©nergĂ©tiques disponibles, a annoncĂ© Marc-Olivier Buffat, prĂ©sident du PLR Vaud, lors d'un point presse devant le Parlement vaudois. L'objectif vise Ă "mobiliser" toutes les solutions liĂ©es aux Ă©nergies renouvelables, Ă "mettre le turbo" sur certains projets comme pour le barrage Bex-Massongex, mais aussi Ă mener "une indispensable rĂ©flexion" sur l'exploitation du gaz naturel dans le sous-sol vaudois, a-t-il ajoutĂ©. Une telle exploitation est interdite depuis 2018 dans le canton. Pourtant, ces derniĂšres semaines, l'idĂ©e de relancer le projet d'extraction de gaz naturel sur le site de Noville est rĂ©apparue. "Par rapport Ă 2018, la situation gĂ©opolitique a bien changĂ©. Mieux vaut le gaz de Noville que le gaz de Poutine", a remarquĂ© Marc-OIivier Buffat. Ce gaz vaudois constitue "une Ă©nergie de transition que l'on se prive d'exploiter", a renchĂ©ri Kevin Grangier, prĂ©sident de l'UDC Vaud. Collaboration pour les fĂ©dĂ©rales Outre l'annonce de cette rĂ©solution, les prĂ©sidents du PLR et de l'UDC, accompagnĂ©s de leur homologue du Centre Emilio Lado, ont indiquĂ© qu'un comitĂ© de l'Alliance du centre avait Ă©tĂ© instaurĂ©. Ils y siĂ©geront tous les trois et organiseront rĂ©guliĂšrement des rencontres avec leurs conseillers d'Etat et leurs groupes au Grand Conseil. "Nous voulons continuer de dialoguer et, partout oĂč cela est possible, lancer des actions et campagnes communes", a expliquĂ© Kevin Grangier. "Les Ă©lections cantonales ont montrĂ© que la population souhaitait une stratĂ©gie commune, des solutions de compromis. Chaque parti va conserver sa ligne, mais nous ne resterons pas butĂ©s sur nos positions", a affirmĂ© Emilio Lado. Dans le mĂȘme ordre d'idĂ©e, les conseillers d'Etat Ă©lus via l'Alliance vaudoise - Christelle Luisier, Isabelle Moret, FrĂ©dĂ©ric Borloz tous PLR et ValĂ©rie Dittli Centre - seront invitĂ©s selon un tournus Ă participer aux sĂ©ances du groupe UDC. L'occasion pour le parti agrarien d'avoir Ă nouveau accĂšs Ă un ministre, ce qui ne lui est plus arrivĂ© depuis 11 ans et le dĂ©cĂšs de Jean-Claude Mermoud. Une collaboration est aussi envisagĂ©e pour les Ă©lections fĂ©dĂ©rales de 2023. Les trois partis chercheront Ă s'apparenter pour le Conseil national et Ă s'allier pour le Conseil des Etats. "Des discussions sont en cours, mais nous n'allons rien prĂ©cipiter", a remarquĂ© Marc-Olivier Buffat. Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats Economie Coupures d'Ă©lectricitĂ© le PLR interpelle Ă nouveau le gouvernement PubliĂ© Il y a 6 joursle 23 aoĂ»t 2022 Des dĂ©putĂ©s PLR vaudois attendent des rĂ©ponses claires du gouvernement sur le risque de pĂ©nurie Ă©nergĂ©tique et surtout d'Ă©lectricitĂ© photo symbolique. © Keystone/DOMINIC FAVRE Le groupe PLR au Grand Conseil vaudois, par la voix du prĂ©sident du parti Marc-Olivier Buffat, s'inquiĂšte toujours d'un Ă©ventuel risque de blackout cet hiver en raison de la crise ukrainienne. Dans une interpellation dĂ©posĂ©e mardi, il questionne Ă nouveau le gouvernement sur sa stratĂ©gie en cas de rationnement possible d'Ă©lectricitĂ©, voire de coupures sectorielles ou temporelles. "Avec la guerre en Ukraine notamment et la ferme volontĂ© de nos voisins europĂ©ens de se libĂ©rer du pĂ©trole, du charbon et du gaz politique qui va de pair avec la dĂ©carbonisation de la sociĂ©tĂ©, le risque de pĂ©nurie Ă©nergĂ©tique, mais surtout d'Ă©lectricitĂ©, s'est encore dĂ©multipliĂ© ces derniers mois", Ă©crivent une vingtaine de dĂ©putĂ©s PLR. Inquiets, les signataires posent la question d'un plan B car "l'impact en sera considĂ©rable pour notre Ă©conomie, notre population et notre vie quotidienne". L'interpellation formule six questions urgentes. Le texte demande en premier lieu quelle est la stratĂ©gie et le dispositif prĂ©vu par le Conseil d'Etat en cas de pĂ©nurie et de coupures d'Ă©lectricitĂ©. Le PLR veut aussi savoir quelles sont les mesures d'anticipation envisagĂ©es afin d'Ă©viter ces coupures ou un rationnement. Si une situation catastrophique devait se matĂ©rialiser, comment et par quels moyens le rationnement pourrait-il ĂȘtre mis en œuvre et selon quels critĂšres, et quels seraient les personnes ou les secteurs Ă©conomiques ou gĂ©ographiques qui seraient potentiellement touchĂ©s, s'interrogent encore les signataires. Document prĂ©sentĂ© d'ici la fin de l'annĂ©e? En rĂ©ponse Ă deux prĂ©cĂ©dentes interpellations dĂ©posĂ©es l'une par le PLR dĂ©jĂ et l'autre par l'UDC, le gouvernement indique avoir demandĂ© dĂ©but 2022 Ă diffĂ©rences services administratifs d'Ă©laborer une stratĂ©gie de rĂ©duction du risque d'une rupture de la fourniture d'Ă©lectricitĂ© et de son impact. Ce document doit lui ĂȘtre prĂ©sentĂ© pour approbation d'ici la fin de l'annĂ©e, prĂ©cise-t-il. Le Conseil d'Etat rappelle en outre que la situation de pĂ©nurie est gĂ©rĂ©e uniquement au niveau de la ConfĂ©dĂ©ration par l'intermĂ©diaire de l'Organisation pour l'approvisionnement en Ă©lectricitĂ© en cas decrise OSTRAL. Elle dĂ©crĂšte si nĂ©cessaire des mesures pour limiter la consommation, en incitant dans un premier temps Ă Ă©conomiser l'Ă©lectricitĂ©, puis Ă interdire certains usages Ă©clairage de vitrines, jacuzzis, etc. Si cela ne suffit pas, Berne peut obliger le rationnement de la consommation pour les clients consommant plus de 100'000 kWh/an d'Ă©lectricitĂ©. En dernier recours, la ConfĂ©dĂ©ration peut dĂ©cider la mise en place des plans de dĂ©lestage, qui impliquent de couper Ă intervalles rĂ©guliers l'Ă©lectricitĂ© de quartiers entiers. Dans le cadre du plan OSTRAL, elle interdit Ă©galement le commerce de l'Ă©lectricitĂ© et prend le contrĂŽle des moyens de production. Cet article a Ă©tĂ© publiĂ© automatiquement. Source ats
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