Pourtant, seul parmi les êtres vivants, l'Homme s'interroge sur sa nature et sur la valeur de ses actes. La question du " propre de l'homme ", au cœur... Lire la suite 7,70 € Neuf Poche Définitivement indisponible 7,70 € Ebook Téléchargement immédiat 16,99 € Grand format Actuellement indisponible 21,00 € Définitivement indisponible Pourtant, seul parmi les êtres vivants, l'Homme s'interroge sur sa nature et sur la valeur de ses actes. La question du " propre de l'homme ", au cœur de la problématique philosophique depuis des millénaires, est ici revisitée à l'aide des données croisées de la théorie de l'évolution, de la génétique et des sciences cognitives. A travers cette approche pluridisciplinaire, Axel Kahn nous livre son analyse, à la fois érudite et accessible à tous. L'autre, l'étranger, l'ennemi L'ami, l'amant, les siens L'animal de vérité Evolution et beauté Homo œconomicus Liberté, liberté chérie Rire, pleurer, croire et mourir Heureux comme un poisson dans l'eau Date de parution 03/01/2008 Editeur Collection ISBN 978-2-266-17987-4 EAN 9782266179874 Format Poche Présentation Broché Nb. de pages 316 pages Poids Kg Dimensions 11,0 cm × 18,0 cm × 1,3 cm Biographie d'Axel Kahn Chercheur de renommée internationale, Axel Kahn est docteur en médecine et docteur ès sciences, généticien, directeur de recherche à l'INSERM et directeur de l'institut Cochin. Il a été membre du Comité consultatif national d'éthique durant douze années et a présidé la Commission du génie biomoléculaire en France, ainsi que le Groupe des experts en sciences de la vie à Bruxelles. Il est notamment l'auteur de Et l'homme dans tout ça ? 2000, Raisonnable et humain ? 2004, Le secret de la salamandre avec Fabrice Papillon, 2005 et L'homme, ce roseau pensant 2007 tous parus chez NiL éditions.
Celuici peut sembler un peu étrange, mais si vous voulez qu'un homme s'intéresse à vous après avoir couché avec lui, vous devez faire marche arrière et vous assurer que c'est lui qui vous contacte. Tenez-vous-en au plan consistant à lui faire correspondre texte pour texte. Ne commencez pas à envoyer des SMS comme un fou simplement
Nous connaissons qu’il y a un infini, et ignorons sa naturePar l’espace l’univers me comprend et m’engloutit comme un point, par la pensée je le comprends. [P. 63] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature, mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser ; une vapeur, une goutte d’eau suffit pour le tuer. Mais quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, puisqu’il sait qu’il meurt et l’avantage que l’univers a sur lui. L’univers n’en sait rien. [P. 165] Roseau pensant. Ce n’est point de l’espace que je dois chercher ma dignité, mais c’est du règlement de ma pensée. Je n’aurai point d’avantage en possédant des terres. Par l’espace l’univers me comprend et m’engloutit comme un point, par la pensée je le Les Pensées, 1669-1670> Voir le manuscrit dans Gallica
C866.